Le Cercle Prix FFJ / Christian Polak

Prix FFJ/Christian Polak 
du meilleur mémoire de master sur le Japon


La Fondation France-Japon de l’EHESS décerne une fois par an depuis 2016 un Prix destiné à récompenser l’excellence scientifique et la valeur universitaire d’un mémoire de master portant sur le Japon dans une perspective aréale ou comparée, toute discipline des sciences humaines et sociales confondues. Grâce au soutien de M. Christian Polak, la Fondation verse le montant de 2 000 € au ou à la lauréat·e du Premier Prix, 1 000 € à celui ou celle du Deuxième Prix et 500 € à celui ou celle du Troisième Prix (depuis la septième édition). La Fondation tient à féliciter chaleureusement les lauréat·es de ce Prix, mais aussi à exprimer sa grande satisfaction quant à la qualité de tous les mémoires reçus en candidature chaque année.
 
 
     

Appel à candidatures pour le Prix 2024 (clos)

 

Lauréat.e.s

Lauréate 2024 du Premier Prix

YAMAGUCHI Rena (École Nationale Supérieure d'Architecture de Lyon) pour son mémoire : « Le patrimoine bâti dans la société japonaise. Introduction aux études socio-historiques sur la « maison de ville à Kyōto » (kyō-machiya) », dirigé par Ludovic Ghirardi (ENSAL).

 

Lauréat 2024 du Deuxième Prix

Thomas SEGUI (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) pour son mémoire : « Les velléités autonomistes des seigneurs Imagawa, face à l’effacement du pouvoir shogunal dans la première moitié du XVIe siècle, au travers de leurs constitutions territoriales (bunkoku-hō 分国法) : étude comparative du Imagawa kana mokuroku 今川かな目録 (Les articles en kana des Imagawa ; 1526) et du Imagawa kana mokuroku tsuika 今川かな目録追加 (Les articles en kana des Imagawa – augmentés ; 1553) », dirigé par Noémi Godefroy (INALCO).
 

Lauréat 2024 du Troisième Prix

Wladimyr MALYK (Université Lyon III Jean Moulin) pour son mémoire : « Yamamoto Senji 山本宣治, le premier député communiste japonais et son époque. Penser, construire et pratiquer une députation prolétarienne dans la démocratie impériale japonaise des années 1920 », dirigé par Nicolas Mollard (Université Lyon III Jean Moulin).
 

Mention spéciale 2024

Ilan NGUYÊN (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) pour son mémoire : « D'un dessein animé à l'autre : l'étude de la Bergère et le Ramoneur par TAKAHATA Isao (1955~1965) », dirigé par Anne Bayard-Sakai (INALCO).

 


 

Lauréat.e.s

Lauréat 2023 du Premier Prix

Yusuke Kunitomo (EHESS) pour son mémoire : « Une analyse des actions associatives en faveur des demandeurs d’asile au Japon. Le cas de la Rafiq », dirigé par Sébastien Lechevalier (EHESS) et d'Adèle Momméja (CNRS).

 

Lauréat 2023 du Deuxième Prix

Etienne Marq (Université Paris Cité) pour son mémoire : « Deux prêtres catholiques face à la nation japonaise au tournant du XXe siècle : Étude de la coopération et des écrits d’Alfred Ligneul et Maeda Chōta (1893-1907) », dirigé par Ken Daimaru (Université Paris Cité) et Matthias Hayek (EPHE).
 

Lauréate 2023 du Troisième Prix

Marina Pandolfino (INALCO) pour son mémoire : « Le panthéon dans le Shintō tai.i de Yoshida Kanetomo », dirigé par Jean-Michel Butel (INALCO).

 
 


Lauréate 2022 du Premier Prix

Sania Carbone (INALCO) pour son mémoire : « L’urbanisation autour des complexes monastiques à l’époque médiévale », dirigé par Laurent Nespoulous (INALCO).

 

Lauréate 2022 du Deuxième Prix

Lise Bénézet (Université Paris Cité) pour son mémoire : « Les “Cinquante poèmes“ d’Izumi Shikibu : L’absence comme matière poétique », dirigé par Daniel Struve (CRCAO).

 

Lauréate 2022 du Troisième Prix

Françoise Hallez (Université Libre de Bruxelles) pour son mémoire : « La place de l’escalier au Japon. Analyse de cas publics et privés », dirigé par Salvator-John A. Liotta (Université Libre de Bruxelles).

 


Lauréat 2021

Hugo Trevisan (EHESS) pour son mémoire : « Pratiques rituelles charismatiques et négociations des transformations socioculturelles. Ethnographie d’une Église pentecôtiste japonaise aux Yaeyama (Okinawa) », dirigé par Yannick Fer (CNRS).

 

Mention spéciale 2021

Grégoire Jouclas (INALCO) pour son mémoire : « Du matérialisme historique au concept d’aidagara. Analyse d’une appropriation des idées marxiennes par Watsuji Tetsurô », dirigé par Emmanuel Lozerand (INALCO).

 


Lauréat 2020

Masatoshi Inoue (EHESS) pour son mémoire : « L’invention du nucléaire « nippon » : Histoire du développement électronucléaire au Japon par le prisme du nationalisme technologique (de 1954 à nos jours) », dirigé par Sezin Topçu (CNRS).
 

Mention spéciale 2020

Pierre-Antoine Kapfer (Université Paris Diderot) pour son mémoire : « Au-delà de la Mer de l’est : la présence chinoise dans le Japon de Muromachi », dirigé par Matthias Hayek (Université Paris Diderot).


Lauréate 2019

Myriam Akian (Université Paris Diderot) pour son mémoire : « Le Site archéologique de Mukibanda : Mouvement citoyen pour la protection du site, Archéologie et Création de Mémoire », dirigé par Annick Horiuchi (Université Paris Diderot) et Akira Matsuda (Université de Tokyo).

Mention spéciale 2019

Kanako Takeda (ENS Lyon) pour son mémoire : « Injustice ménagère dans le couple mixte : à travers les récits des femmes migrantes japonaises à Lyon et à Paris », dirigé par Emmanuelle Santelli (Centre Max Weber)
 


Lauréate 2018

Chikako Majima (EHESS) pour son mémoire intitulé « Le patrimoine culturel immatériel japonais : la préservation et la transmission de l’Ainu koshiki buyô アイヌ古式舞踊, danse traditionnelle aïnoue », dirigé par Caroline Bodolec (CNRS).

En savoir plus

Mention spéciale 2018

Elise Voyau (INALCO) pour son mémoire « Contestation, expansion, retours : Fukase Masahisa et la photographie japonaise des années 1960 à 1980 », dirigé par Michael Lucken (INALCO).

Lauréate 2017

Céline Zuretti (INALCO) pour son mémoire intitulé « L'Émergence de la verrerie au Japon à la période d'Edo. Les dynamiques des transferts de technologies et de connaissances entre Occidentaux, rangakusha et artisans », dirigé par Michael Lucken (INALCO) et Annick Horiuchi (Université Paris 7 Diderot)
 

Lauréate 2016

Sarah Humbert-Vallette d'Osia (Université Paris Diderot) pour son mémoire intitulé « Les habitants de Kyoto face aux bouleversements de la fin d'Edo (1862-1864) (Étude basée sur l'analyse du Takagi Zaichû Nikki ou Journal d'un habitant de Kyoto à la fin du shogunat et sous la restauration Meiji) », dirigé par Matthias Hayek (Université Paris Diderot).
 
 
 

Retour sur cinq années du Prix FFJ/Christian Polak